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Isa & Nico au fil de l'eau

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4 septembre 2011

quelques photos des vacances 2011...

2011-08-19_15-35-42_443Les glénans...                    

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                                                                                                       2011-08-24_17-05-04_557LorientP8180052P8200038 Bénodet                                                                                                                                                                                                                                                                        Balade en canoé-kayak..                                     

 

Séquence récré pour le capitaine qui croit être dans le pacific ...                                                                                                                                                                                                                                                                                                            

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4 septembre 2011

Une capote .....

Enfin !!! 

Certains nous disaient que dès l'instant ou l'on a une capote de descente sur le bateau, on ne peut plus s'en passer ...Bon, on sait aussi que ce sont les cordonniers les plus mal chaussés !!!! 

Mais un jour, le capitaine décide que nous mettrons une capote de descente .......je n'y croyais pas !! et ben, j'avais tort !

La voici en place et vraiment, je ne m'en passerais plus !!DSCF1650

4 septembre 2011

la sellerie .....

Depuis l'achat du bateau, la couleur des banquettes ne nous plaisait qu'a moitié et en plus, les coussins, un peu affaisés, avaient besoin d'etre changés.L'heure est arrivée de tout remettre à neuf ; un petit tour chez "diffus'laine-tissus" pour l'achat de la suedine, achat de la mousse HR40 (haute resistance ) et " y'a plus ka".. 

 

Et voilà le résultat! Pas mal ...hein !!!

sellerie tamm-ha-tamm avril2011 004

4 septembre 2011

Amélioration de la cabine

Au tour de la cabine, 

 Il est temps de changer la literie et de trouver " l'IDEE" contre l'humidité sous le matelas (due à la condensation..).

Ah! internet, si tu n'existais pas, que ferions nous? Nouvelles recherches sur le Net et Bingo! on a trouvé ...le grand distributeur nordique de meubles en kit nous propose des matelas et des sommiers à lattes TRANSFORMABLES !!

Aussitôt vus,ausssitôt achetés...DSCF1293DSCF1295et voilà le résultat ! le capitaine a bien travailler ..                               

4 septembre 2011

nouvelle cuisine !

L'espace cuisine du moussaillon manque de "propreté" .Nous decidons donc de le refaire . Recherche sur internet pour trouver la gaziniere 2 feux avec le grill dessous !! Pas facile....Enfin, aprés des semaines de patience, nous le trouvons sur un site en angleterre..OUAAAAAAHHHH ! Isa est ravie, elle va ENFIN pouvoir concocter de bons petits plats à son capitaine..

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                                                                          Avant

 

 

                         
    Pendant  
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Après                            
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20 septembre 2010

TAM, le retour.....

HELLO, 
OUIIIIIIII, c'est vrai, nous n'avons pas donné de nos nouvelles depuis longtemps ......mais ce n'est pas pour cela que nous n'avons pas amélioré notre "TAM" , (voiles, espace cuisine, cabine etc) et surtout, nous avons profité de la mer !!!!!!
                                         
Au programme donc, les vacances 2009, la fabrication du spi, comment démonter et remonter les pièces moteur la nouvelle cuisine, la barre franche façon "c'ptaine nico, la literie de la cabine et les vacances 2010 ...Bonne lecture .. moussaillon isa et capitaine nico 
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10 septembre 2008

On change les voiles !!!

2008,l'année du renouveau !
Et oui, TAMMHATAMM àfete_des_peres_22_juin_2008_004 les voiles qui fasseyent ! il est donc urgent de faire quelque chose..La priorité est de changer le génois qui à fait son temps ,il est usé, détendu et fait giter le bateau tellement il est creux !

les recherches commencent donc pour le capitaine Nico ,le disque dur chauffe et l'artisan est trouvé! le génois arrivera en Mars .(fabrique ULMO VOILES)
Reste à choisir l'enrouleur ;se sera un PROFURL C290 .

Après des semaines de préparation,démattage,accastillage neuf, drisses de mat neuves ,passage des messagers,etc....le mât est reposé et l'enrouleur flambant neuf installé !

Au tour du génois qui n'attends que son tour pour se deployer et nous faire glisser sur l'eau.


1er essai en mer direction l'ile Dumet pour le W-E !
Un régal !TAMMHATAMM à l'air d'apprécier ces changements ,nous pousse à 5nds, la gîte est raisonnable et la nav est super agréable !

Une chose importante :les réglages de voiles du capitaine Nico y sont pour beaucoup !

Merci cap'taine




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20 janvier 2008

Francis Joyon, un grand, très GRAND marin

A son image, loin des tumultes médiatiques et publicitaires, Francis Joyon a pris un départ pour améliorer le record en solitaire autour de la planète.
Il ne l'a pas amélioré......... Il l'a pulvérisé. Réalisant le deuxième meilleurs chrono, devant des bateaux menés par 12 hommes.

57 jours, 13 heures, 34 minutes et 6 secondes

Deux semaines plus vite que le précédent record.

Dimanche 20 janvier 2008

Francis Joyon est donc (re)devenu cette nuit le recordman du tour du monde en solitaire, dans le chrono ahurissant de 57 jours, 13 heures, 34 minutes et 6 secondes. Plus de 26000 milles nautiques de frissons avalés à 19,09 nœuds de moyenne, 4 nœuds de mieux qu'Ellen MacArthur dont Joyon améliore le record de deux semaines complètes. Voici très résumé, en trois actes, le film de son extraordinaire aventure océanique.

Le film de l'exploit©© Liot-Vapillon / DPPI

Acte I : tout schuss jusqu'en Tasmanie
 

Francis Joyon s'élance de Brest le vendredi 23 novembre 2007 à 11h05, dans un flux de nord-est qui monte à 25 nœuds à la pointe de Bretagne. Pour battre le record d'Ellen MacArthur, IDEC doit accomplir sa giration planétaire en moins de 71 jours, 14 heures et 18 minutes, soit revenir avant le 3 février 2008 à 1h23. Reconnaissable à sa très longue étrave centrale, le plan Irens/Cabaret allonge illico la foulée. Et respecte à la lettre le plan de bataille défini avec le routeur Jean-Yves Bernot : empannage dans le golfe de Gascogne et tout faire pour conserver de la vitesse sans rupture jusqu'à l'alizé. Francis Joyon pense alors mettre « huit jours  pour atteindre l'équateur ».  Mais dès le départ il tient des moyennes à 22 nœuds, enchaîne des journées à 500 milles et le paysage défile : cap Finisterre le premier jour, passage entre Açores et Madère le deuxième, Canaries avalées au troisième, Cap Vert au quatrième… « La fenêtre météo est vraiment bonne » se félicite le skipper qui, déjà, ne tarit pas d'éloges sur le passage dans la mer de son bateau.
A ce rythme de feu, IDEC franchit l'équateur dès le vendredi 30 novembre, en 6 jours et un peu moins de 18 heures : deux jours de mieux qu'Ellen MacArthur et dix heures de moins qu'Orange II en équipage dans le Trophée Jules Verne !  Et dire que le premier objectif était de « perdre le moins de temps possible sur Ellen dans la première partie…»
Après 10 jours de course, à peine ralenti par le Pot au Noir, le 3 décembre IDEC est déjà par le travers de Rio de Janeiro, avec 800 milles d'avance. Le jeu consiste à aller chercher un petit centre dépressionnaire qui ouvrirait la porte vers le Cap de Bonne Espérance. Et IDEC trouve le passage, déboule dans l'Atlantique Sud avec un flux de nord, en bordure de l'anticyclone de Sainte Hélène. La diagonale est splendide. La flèche rouge allume à 25 nœuds de moyenne en déflorant les quarantièmes rugissants. On attend un temps canon à Bonne Espérance. On n'est pas déçu : le 8 décembre, IDEC efface le cap des tempêtes en 15 jours, 7 heures et 16 minutes à la moyenne sur l'eau de 20,12 nœuds ! Son avance grimpe à 4 jours.

 

 

 

Fuyant en avant d'une dépression, IDEC s'attaque à l'Indien à toute allure : 560 milles, puis 600 milles par jour ! Le rythme tenu par l'homme placide est celui d'un équipage et le 12 décembre près des Kerguelen, avec les albatros pour témoins, Joyon pulvérise le record des 24 heures en solo : 616 milles à 25,66 nœuds de moyenne (record amélioré à 619 milles par Thomas Coville quelques semaines plus tard). Le dimanche 16 décembre, IDEC est au Cap Leeuwin, au sud de l'Australie, avec 7 jours d'avance. Le mardi 18 décembre, au Sud de la Tasmanie, Joyon désintègre le record de l'océan Indien en  9 jours et 12 heures, soit 3 jours de moins qu'Ellen MacArthur et seulement 59 minutes de plus qu'Orange II. « Avec des chiens enragés aux fesses on va plus vite », s'amuse Francis. Mais c'est une autre paire de manches qui l'attend dans le Pacifique.

 
Acte II : un Pacifique de combat
 

Car voilà, après s'être sauvé à grande vitesse devant une dépression, c'est maintenant un anticyclone qui menace d'encalminer Joyon dans la traversée de son troisième océan, le mal nommé Pacifique. Au sud de la Nouvelle Zélande, il est déjà par 54 degrés Sud, dans de gros creux, sous des nuages noirs chargés de pluie et de vents violents qui obligent à manœuvrer et optimiser la route en permanence pour ne pas se faire scotcher. Au 27e jour de course, IDEC est déjà à mi-parcours. Mais pour conserver des vitesses élevées et échapper aux calmes, il faut descendre, descendre… et donc s'approcher des zones où dérivent les icebergs. Le Noël de Francis Joyon est un peu spécial. Sous tourmentin seul, IDEC essuie « une dégelée », comme dit Francis  : 40, 45 puis 50 nœuds, mer méchante, creux de 7 mètres et déferlantes, le tout en traversant un véritable champ de mines d'icebergs. De quoi se fâcher définitivement avec la nature, mais ce n'est pas le genre de la maison Joyon. Et Francis-l'écolo adresse « aux enfants qui voudront bien partager mon rêve » le message suivant : « Je me rends compte que la planète n'est pas si grande que ça. Les générations passées la croyaient illimitée et ont puisé dans ses ressources, mais nous sommes arrivés à une période charnière. Toute la beauté du monde existe encore, mais pour la première fois les hommes peuvent y mettre fin si on n'y prend garde. Je crois que les enfants comprennent cela mieux que les adultes, souvent endormis par leur quotidien. Seuls les enfants arriveront à les réveiller, leur faire comprendre que l'essentiel est de permettre aux oiseaux de voler dans les forêts, aux ours blancs d'errer sur la banquise, aux dauphins de surfer sur les vagues des océans et au final, à l'homme de vivre en harmonie sur sa planète». Pour faire son cap dans le Pacifique, IDEC devra descendre jusqu'à 59 degrés de latitude Sud alors que l'alerte glaces est à 52°. Mais la récompense est au bout de cette route à risques dictée par la météo. Le samedi 29 décembre, à 23h31, IDEC est au Horn. Le cap dur en 35 jours ! Encore un exploit ahurissant, à 21 nœuds de moyenne sur la route effectivement avalée. Son avance sur Ellen MacArthur est de 9 jours et demi. Délivrance ? On ne se méfie jamais assez de la remontée de l'Atlantique…

 
Acte III : la remontée de tous les dangers
 

Dès la Terre de Feu, le coup de frein est brutal. De la pétole, du près - « deux fois la route et trois fois la peine »  -  IDEC est contraint de louvoyer au grand large de l'Argentine. Oubliées les journées à 500 milles, il faut se contenter de 300, voire moins. Dans un premier temps, au 40e jour de course, Francis Joyon parvient à exploiter un couloir de vent un peu moins défavorable entre un anticyclone et une dépression. Mais du 4 au 8 janvier, l'Atlantique Sud se montre impitoyable : le vent est résolument au Nord, dans l'axe de la route, et oblige le skipper morbihannais à multiplier les virements de bord. Le trimaran est rudement secoué dans une mer désordonnée. « Je souffre de voir souffrir mon bateau », soupire Francis, qui regrette aussi d'avoir perdu « l'aiguillon Thomas Coville », lancé à la poursuite du même record mais contraint à l'abandon sur casse au large de l'Afrique du Sud. Pour Joyon, l'obsession est de toucher enfin les alizés d'Est qui permettront de refaire tourner les chronos dans le bon sens. Le 8 janvier, c'est chose faite. Le 9, le speedo repasse au-dessus des 20 nœuds et malgré un blocage du safran babord (qui sera réparé assez vite), le bateau monte de nouveau sur un flotteur et file vers l'équateur. La ligne de séparation des deux hémisphères est franchie de nouveau le 10 janvier en 48 jours, 2 heures et 18 minutes… 12 jours et demi d'avance !

 

 

 

Mais dès le lendemain, on craint le pire. La drisse de grand voile a cédé et en montant au mât pour réparer, Francis Joyon découvre une avarie autrement plus grave : l'axe qui retient le hauban tribord se dévisse. Qu'il sorte de sa base et c'est le démâtage. Cinquante jours d'efforts peuvent être réduits à néant en une fraction de seconde. Le suspense devient insoutenable : tiendra, tiendra pas ? Joyon se blesse à la cheville en escaladant deux fois, puis trois fois son mât, 32 mètres au-dessus d'une mer croisée. Voilure réduite et route adaptée pour laisser le hauban sous tension – position dans laquelle il risque le moins de se s'arracher – IDEC parvient pourtant à poursuivre sa route. Le 14 janvier, Francis lâche « c'est un peu galère, le bateau est très fatigué ». Doux euphémisme, car les avaries s'enchaînent. Au près par 28 nœuds de vent, l'étai de trinquette cède, une poulie transperce le pont… c'est la guerre, avec toujours l'épée de Damoclès de ce hauban qui peut lâcher à tout moment. Les journées sont dures pour les nerfs, jusqu'à ce mercredi 16 janvier où Francis réussit une quatrième ascension du mât d'IDEC et cogne au marteau comme un forcené sur la pièce traîtresse, pour la gripper définitivement. Opération réussie. Dès lors, la confiance revient à bord du trimaran rouge. Reste à éviter les derniers pièges d'une dépression très creuse dans le golfe de Gascogne pour filer vers un extraordinaire exploit à Brest : 57 jours, record atomisé de 14 jours. Deux semaines complètes. Francis Joyon était déjà un très grand marin. Cela ne va sûrement pas lui plaire, mais il est aujourd'hui une icône, de celles dont se nourrissent les rêves des gosses. Bienvenue dans la légende, Mister Francis.

 

 

 
Les grandes dates du record :
 
  • Départ de Brest : vendredi 23 novembre 2007 à 11h05'52.   
  • Passage équateur (aller)  : vendredi 30 novembre à 4h03 en 6 jours 17 heures et 58 minutes. 2 jours d'avance sur Ellen MacArthur.
  • Cap de Bonne Espérance : samedi 8 décembre à 18h21, en 15 jours, 7 heures et 16 minutes. 4 jours d'avance.   
  • Record des 24 heures le mercredi 12 décembre 2007 : 616,07 milles à 25,66 nœuds de moyenne. Amélioré depuis à 619,3 milles par Thomas Coville.
  • Cap Leeuwin : dimanche 16 décembre. 7 jours d'avance.   
  • Record de l'océan Indien (sud Tasmanie): mardi 18 décembre en 9 jours, 12 heures et 3 minutes. Record amélioré de 3 jours.   
  • Cap Horn : samedi 29 décembre à 23h31 en 35 jours, 12 heures et 31 minutes. 9,5 jours d'avance.   
  • Passage équateur (retour)  : jeudi 10 janvier à 13h23 en 48 jours, 2 heures et 18 minutes.  12 jours et 11 heures d'avance.   
  • Arrivée à Brest : dimanche 20 janvier 2008 à 0h39'58'', en 57 jours, 13 heures, 34 minutes et 6 secondes. Record battu de 14 jours, 44 minutes et 27 secondes. Environ 26400 milles parcourus à la moyenne de 19,09 nœuds sur l'eau.
 
L'historique des trois records solo en multicoques et sans escale :
 
  • Francis Joyon. IDEC. 2008. 57 jours, 13 heures, 34 minutes et 6 secondes.   
  • Ellen MacArthur. Castorama. 2005. 71 jours, 14 heures, 18 minutes et 33 secondes   
  • Francis Joyon. IDEC. 2004. 72 jours, 22 heures, 54 minutes, 22 secondes.
 
Tentatives précédentes :
 
  • Olivier de Kersauson. Un autre regard.1989. 125 jours, 19 heures, 32 minutes. Deux escales   
  • Philippe Monnet. Kriter. 1988. 129 jours. Deux escales.   
  • Alain Colas. Manureva. 1974. 169 jours. Une escale.
20 août 2007

Présentation du "voyage"

Commençons par une petite présentation du petit périple de cet été

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1ere étape : Arzal - Ile de Groix

2eme étape : Ile de Groix - Concarneau

3eme étape : Concarneau - Ste Marine Bénodet

4eme étape : Ste Marine - Les Glénan

5eme étape : Les Glénan - Locmiquélic

6eme étape : Locmiquelic - Le Crouesty

7eme étape : Le Crouesty - Arzal

Quelques données avant de passer à chaque étapes : 200 miles nautiques de parcourus pendant ces 15 jours.
Je ne compte pas le gasoil, car si nous avons eu la chance d'avoir le meilleur créneau météo de cet été, qui dit beau temps, dit vent en berne. Le vent de cale était donc le bienvenu, ainsi qu'un nouvel équipier : le pilote automatique.
Merci à lui d'avoir tenu la barre.

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Tréhiguier au réveil

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20 août 2007

1ere étape : Arzal --> Ile de Groix

ArzalDépart le 04 Aout au soir.
Nous avions (enfin, j'ai) décidé de prendre l'écluse de 21h00 afin de prendre un corps mort en face de Tréhiguier. Les écluses sont bondées en été et le soir est beaucoup plus tranquille. En effet, nous étions deux dans l'écluse. Bonne pioche.
Après une nuit tranquille dans la Vilaine, 7h00 du matin, branle bas de combat, tout le monde sur le pont, on décolle.
Une grosse journée s'annonce pour arriver à Groix.
Le choix était de faire deux "grosses" étapes pour arriver rapidement dans la région de Concarneau, ou là les étapes seraient beaucoup plus courtes.
Il fait très beau, le vent va avec et c'est donc au moteur que nous arrivons au passage de La Teignouse, point de passage pour sortir de la baie de Quiberon.

Le vent se lève enfin et c'est à la voile que nous pouvons rejoindre Port-Tudy après une grosse journée de 11h00 de navigation.

Groix

Un petit coup de VHF canal 9 pour ce présenter à la capitainerie qui nous signale qu'il faudra se mettre sur les bouées dans l'avant port. C'est là que commence la foire d'empoigne à la place. Je passe les grincheux voileux d'été qui ne supportent pas que l'on se mette à couple sur leur beau bateau.

Rangés comme des sardines, à grand coup de renfort des petits gars du port, les bateaux trouvent leur place. Mais quel spectacle !!!

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Mais avec un peu de recul c'est nettement plus beau.

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Une fois donc tout ce petit monde installé, nous pouvons gonfler l'annexe, seul moyen de transport pour se rendre à terre.

Je ne pouvais pas faire escale ici sans me rendre chez :

100_2854_640x480Ici, on ne sert pas de boissons chaudes, la pompe à bière est bien fournie et en affiche grand modèle bien en vue dans le bar. Un avis de fermeture rédigé par la préfecture, pour service d'alcool à une personne en état d'ivresse.

Pas de doute, nous avons mis les deux pieds dans le territoire Breton.



Après une grosse journée de mer et avant une autre bonne journée pour atteindre Concarneau, nous décidons de passer deux jours sur place. Place à la marche à pieds pour découvrir un peu cette île.

Aux détours d'un sentier tortueux....100_2847_640x480Une crique100_2846_640x480, le petit port100_2851_640x480 du Lay et retour sur les hauteurs de Port Tudy100_2845_640x480







Ce qui est bien dans les avants ports, c'est que nous n'avons pas besoin de réveil matin, voici celui de 8h00 :


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Mais le jour ce lève déjà et il est l'heure d'appareiller pour Concarneau.

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Isa & Nico au fil de l'eau
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